Le génocide des Palestiniens

Le20mars2025 photo annick

Pendant le premier semestre de l'année 2025 l'intensification du massacre des populations civiles de Gaza, organisée par le gouvernement Israélien de Benyamin Netanyahou, m'a profondément marqué. Durant ces mois, j'ai terminé mon tableau « Le génocide de Gaza». Pendant cette période, des milliers de femmes et d’enfants ont été massacrés quotidiennement sous nos yeux et en direct.

Ce spectacle d’atrocités m'a sidéré, tout comme la lâcheté des gouvernements européens et de la Suisse, mon pays. Nous assistons à un véritable génocide, aggravé par l’idée des assasins Israélien d’utiliser maintenant la faim comme arme de destruction massive.

Je me suis souvent demandé comment Hitler avait pu imposer ses camps de concentration face au monde dès 1933 et dans l’indifférence générale. Maintenant, je le sais. Nos politiciens sont des lâches, des capitaines de navires par beau temps, des sous-hommes sans courage.

Pendant ce semestre, j'ai créé le site NFTgaza.org ( que vous pouvez consulter et surtout vous enregistrer), où le tableau “Le génocide de Gaza” sera découpé en 16 000 NFT, et dont les ventes servirons à aider, modestement, les ONG qui essayent de sauver les survivants de Gaza.

Brenar de Croy,
le 12 juin 2025.

Le principe du colibri
C’est une légende amérindienne popularisée par Pierre Rabhi.

Un immense incendie ravage la forêt.
Tous les animaux fuient, paniqués.

Sauf un petit colibri, qui fait des allers-retours vers la rivière.

Il prend quelques gouttes d’eau dans son bec et les jette sur le feu.
Les autres animaux se moquent :
« Tu crois que c’est avec ça que tu vas éteindre l’incendie ? »

Et le colibri répond simplement :
« Je fais ma part. »

 

NFTgaza.org
Inscrivez-vous !


Le génocide des Palestiniens
100 cm x 160 cm | huile sur toile | ©2025

 

Dystopia (16)

"Peut-être, comme un homme fatigué d’avoir roulé et tangué par gros temps, atteint d’on ne sait quelle nausée intérieure, il accepte l’aliénation comme une manière de jeter l’ancre"

Marguerite Yourcenar – Quoi ? L’éternité – Galimard 1988

Reflets d'âmes (18)

Des rencontres vraies ou rêvées. Ce qui ne se voit pas au premier regard, la blessure et la lumière unique de chacun.

 

 

 

"Si l'homme quitte le service de lui-même,
 le service des objets de l'avoir (matérialisme)
 et des sujets de l'être (hédonisme),
 alors il devient disponible pour ce qui le dépasse,
 pour le futur à créer et à construire,
 pour la Pensée et la Connaissance".


Les conditions de l'épanouissement de soi.
Marc Halévy

Alice et Marie

Il y a toujours trop d'espérance dans le coeur de Marie (9)

Ici dorment les élans inaboutis
Les promesses fanées
Les gestes restés en suspens
Des fragments d’espoir échappés du temps
Des souvenirs qui refusent de s’effacer

Un hommage à ce qui aurait pu être.

Les vaisseaux quantiques (5)

Sur notre planète navigant dans l’infini, il y a des lieux à part, connectés, qui nous attirent comme des portes ouvertes sur les univers invisibles où chacun sait que nous sommes plus grands que nous-mêmes. Ces lieux attirent chaque année des milliers d’âmes, elles viennent ressentir leurs vies où elles se sont rencontrées, depuis des milliers d’années, dans le passé, le présent et le futur.

Ces lieux sont des passages, des vaisseaux quantiques.

Les smart city (5)

Les fascinantes Smart City, agrégations de vies, de citoyens du monde, d’idées, d’énergies, de savoirs, de richesses, de pauvretés, de lumières, de nuits, de passés, de présents et de futurs sans peurs.

Dessins

« Le dessin est la base de tout, et bien dessiner, c’est tout. »
— Léonard de Vinci


Je cherche cet espace fragile entre le dessin et la peinture.
Pour moi, le premier trait de crayon a autant d’importance que la dernière couche de glacis. Dans ces esquisses, il y a déjà l’âme du tableau, parfois même plus.

Etude pour "Gaza2024"Etude Gaza2024

Etude pour L'ange du 18 octobreL'atelier

Connection à l'atelierL'atelier

Dans le silence de la nuit

Quand le monde dort, que les bruits se taisent, quelque chose s’ouvre. Je peins souvent à ces heures-là, au cœur de la nuit, quand les vibrations humaines s’apaisent et que celles de l’univers deviennent perceptibles. Les idées me traversent, parfois fulgurantes, parfois timides. Certaines finissent en couleurs, d’autres en mots.

Ce blog est né de ces instants suspendus.